mercredi 18 novembre 2009

Hä?

Rien compris au film… C'est un nouveau schmilblick littéraire? Ou un nouvel avatar de la branchitude?


PS: Ôskour, quand même… Je cite: "Quoi de plus attirant que ces talents de maïeutique pour tous ceux qui portent un livre en eux ?" Je cite ensuite: "Le coach n'est ni un éditeur, ni un agent littéraire, ni ce qui s'appelle dans le jargon éditorial un "scout", c'est-à-dire une tête chercheuse de talents." Jusque-là, d'accord - on n'a toujours rien compris, mais bon (on passe aussi sur la définition erronée du mot scout, encore une belle billevesée, bref). Or quelques lignes plus bas, on lit: "En fonction du manuscrit, de sa qualité, de son potentiel, le coach peut proposer plusieurs types de services, allant d'un simple aiguillage (une rencontre, un conseil gratuit) jusqu'à une réécriture du texte, qui sera ensuite (ou non) suivie d'une proposition à un éditeur." En voilà une chouette schmilblickerie!

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