Toujours est-il qu'à un moment, alors que certains voulaient repartir le DJ a mis le jubilatoire Reggae Fever (Blam Blam Fever) qui a ce pouvoir magnétique systématique d'attirer tout le monde sur la piste de danse. Là, ça n'a pas raté: même les personnes sur le départ ont dansé. À quoi cela tient? Aux paroles? Qui mettent en valeur les skinheads, leur mode de vie, leur allure, l'aspect fondamentalement festif de leur vie en groupe, leur goût pour le reggae - en l'occurrence pour le genre du morceau, du… skinhead reggae? Je pense que cela tient plutôt des claquements de main qui interviennent à 3 moments dans le morceau. Et ce soir, le plus renversant dans ce nighter assez plan-plan, somme toute, c'est que tout le monde a frappé dans ses mains pile au moment où intervenaient, donc, les claquements de main et tout le monde chantait "the reggae fever is good" - et il y avait cet instant d'union et de communion dont j'ai parlé ici. Allez, on écoute:
Ce morceau est une reprise du Guns Fever (Blam Blam fever) rocksteady des Valentines, où il n'y avait pas les fameux claquements de main, qui se déroulait encore en Jamaïque (Les Pioneers ont déplacé l'action à Londres). Et comme on est déjà samedi et qu'on n'est pas chien et que donc c'est Samstag und dass Samstag auch Skamstag ist, dann zeigen wir auch das Video von The Valentines. Merci qui?
Rubbzzz!
Rubbzzz!
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