En ancien françois, deux cas régissaient les substantifs: le nominatif et l'accusatif. En moyen françois, ce principe disparaît et donc les déclinaisons. C'est le cas régime qui l'importe, donc l'accusatif. Et, JB lit:
Cette évolution a une influence fondamentale sur la syntaxe, parce que l'indication de la fonction est laissée à l'ordre des mots: le maître aime l'élève – l'élève aime le maître. Le français devient une langue analytique qui recourt aux prépositions.
Et donc, pendant ce temps, il accepte de discuter avec quelqu'un sur une certaine page bleue. Ce quelqu'un n'emploie aucune espèce de ponctuation ni ne fait de phrases cohérentes. Même en allemand, cela énerve JB à tel point qu'il envoie le message suivant:
Soit:
Si tu ne peux ni t'exprimer correctement, ni construire des phrases correctes du point de vue de la syntaxe, et ce, s'il te plaît, dans un allemand compréhensible, alors je n'ai franchement aucune envie de poursuivre ce dialogue.
Oupala. JB a été un peu sévère sur ce coup-là.
Lui qui vient juste de lire:
"Le maître aime l'élève - l'élève aime le maître."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire