À défaut de pouvoir passer sa colère sur bidulemachine qui aboule pas le flouze qu'elle nous doit, on va écouter ça, c'est immarcescible et c'est en rapport avec la hargne. Ça a 30 balais et ça a pas pris une ride. C'est signé The Flying Lizards (et on s'en fout qu'ils aient pompé leur principe sur le Third Reich 'N Roll des Residents et on s'en fout ensuite que The Art of Noise aient eux-mêmes pompé le principe des Flying Lizards).
Et puis un autre jour, quand on sera moins en colère, on mettra un autre morceau tout aussi immarcescible des mêmes Flying Lizards, à savoir leur reprise cette fois de Sex Machine, de James Brown, voire, encore mieux et encore moins connu l'ébouriffant et hilarant Mandelay Song d'une de mes idoles: Kurt Weill († RIP). Mais ça, c'est pour un autre jour. Pour l'instant, l'exutoire à la colère:
Et comme nous on n'est pas chien, nous, eh ben nous on vous met aussi pour le prix d'un l'original qui a 50 balais. Il est signé Barrett Strong et il est tout aussi épatant (et c'était le premier hit de Motown – just so you know). Voilà. Et puis venez pas vous plaindre qu'on n'est pas sympatoche sinon vous vous prenez une châtaigne dans la cheutron.
PS: Pour tous ceux qui s'interrogeraient sur la signification de la fameuse phrase "but you give them to the birds and bees", les oiseaux et les abeilles en question font référence à la sexualité, et, très précisément, à l'éducation sexuelle. L'expression aurait été inventée, nous indique tant answers.com que wikipedia, par… par… Cole Porter (ce que pour le coup j'ignorais totalement)! Aïe am véry véry impressionnède.
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