Si je baisse la tête et regarde le livre et mon clavier, je vois ça:
J’ai repris là où je m’étais arrêté la veille et le carrousel des existences disloquées a refait un tour entre mes mains. Le ventre grondant, avec à travers la fenêtre le soleil qui se montrait quelques heures seulement pour ensuite disparaître et laisser place à cette longue nuit, j’ai parcouru des piles et des piles de vies qui partaient en charpie (…)
© Johan Harstad pour le texte; © Jean-Baptiste Coursaud pour la traduction
© Gyldendal Forlag pour l'édition originale; © Gaïa Éditions pour l'édition française
© Gyldendal Forlag pour l'édition originale; © Gaïa Éditions pour l'édition française
Si je relève la tête et regarde par ma fenêtre, je vois ça:
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