Et pendant que JB prépare un post sur les rats volants que sont dans un contexte urbain les pigeons, il découvre dans son iTunes un morceau de ska portant lui aussi sur la bestiole. Ça s'appelle Wings of a Dove, ça date de 1965 et c'est interprété et chanté par les Blues Busters, et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est ringue à mort. Les paroles sont complètement idiotes ("If I had the wings like a dove / I would fly away"), le chant est ridicule (confer cette répétition des phrases: "Since I have no wings / Since I have no wings / Since I have no wings I cannot fly fly fly / Since I have no wings / Since I have no wings / Since I have no wings I have to sing sing sing sing"), la musique est à l'avenant: niaise (cette trompette! elle est à vous dégoûter à tout jamais de l'instrument). Bref, du reggae grotesque comme on l'aime - parfois.
Und während der JB einen Post vorbereitet über diese fliegenden Ratten, die zumindestens in einem städtischen Kontext die Tauben sind, entdeckt er in seinem iTunes ein es auch über das obengennante Gefügel handelndes Skastück. Es heisst Wings of a Dove, es wurde in 1965 herausgegeben und von The Blues Busters gespielt und gesungen. Und, was man ruhig feststellen kann, ist, dass es endlos doof ist. Die Songtexte sind völlig dumm ("If I had the wings like a dove / I would fly away"), das Gesang ist lächerlich (man beachte die Wiederholung folgender Zeile: "Since I have no wings / Since I have no wings / Since I have no wings I cannot fly fly fly / Since I have no wings / Since I have no wings / Since I have no wings I have to sing sing sing sing"), und die Musik ist wie der Rest: nervend (diese Trompette! hört man sie, und man beinahe hasst dieses Instrument für den Rest des Lebens). Tja, groteskes Reggae, wie man es - manchmal - mag.
2 commentaires:
Ce n'est que ton avis, j'adore desmond dekker et même si les paroles ne sont pas très intelligente la chanson est plutot entrainante.
Mais moi aussi j'adore Desmond Dekker! Sauf que ce n'est pas lui qui chante mais Phillip & Lloyd des Blues Busters. Et, sur le LP de 1964 où figure "Wings of a Dove", ils ont montré que non seulement ils faisaient des morceaux popcorn assez réussis dans le genre ("Wide Awake in a Dream"), mais surtout qu'ils savaient reprendre des standards ska et soul définitivement impérissables. Je pense bien sûr à l'insubmersible "I won't let you go" de Keith & Ken et, surtout, surtout, leur reprise historique de "Behold" que tu peux écouter sur ce blog tatoué et fumeur. Enjoy!
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