dimanche 23 mai 2010

Bon bon/Nagut

Mit diesem Lied im Kopf aufgewacht:
Réveillé avec cette chanson dans la tête:



Et certes c'est un morceau qu'on écoute beaucoup en ce moment, à savoir pas plus tard que hier soir sur le chemin du retour…
Und zwar ist ein Lied, das man im Moment sehr viel hört, und nicht später als gestern auf dem Rückweg…



… aber man wundert sich schon, dass es sich immer noch im Kopf dreht, und überhaupt beim Aufwachen.
… mais on s'étonne malgré tout que la chanson résonne toujours dans la tête, et surtout au réveil d'ailleurs.

Donc on écoute attentivement les paroles pour comprendre, puisqu'on sait que ces musiques du matin ont un sens caché, sont comme l'écho de l'inconscient le prolongement de la nuit, la clé de la signification des rêves. Et pour cause puisque dans la chanson il est dit entre autres: "I've got to sing a song each lonely night" et "It's only a matter of time then all my dreams will come true."
Also hört man ganz gründlich die Songtexte um zu verstehen, denn man weiss das diese Morgenmusiken einen versteckten Sinn haben. Sie sind irgendwie das Echo des Unbewusstseins, die Fortsetzung der nacht, die Schlüssel für die Bedeutung der Träume. Und wie! denkt man, als man hört: "I've got to sing a song each lonely night" und "It's only a matter of time then all my dreams will come true."

On entend ces paroles que déjà hier, dans le bus, on trouvait magnifiques: "Stronger than the north winds, higher than the moutains, that's my love for you."
Man hört auch die Zeile, die man schon gestern, unheimlich schön fand: "Stronger than the north winds, higher than the moutains, that's my love for you."

Bon bon. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre, se dit-on. On relève la tête, on regarde dehors, on voit la rue vide, on entend que l'immeuble est silencieux, que tout le monde dort encore, qu'on est peut-être le seul à être déjà debout en ce dimanche matin puisque, comme l'a dit l'ami A hier, "Ah oui, c'est que tu te lèves comme les poules", et on se dit: Bon bon…
Nagut. So kompliziert zu verstehen ist es nun gar nicht, denkt man. Man guckt vor sich hin, schaut nach draussen, sieht die leere Strasse, hört dass das Haus still ist, dass alle noch schlafen, dass man sicherlich der Einzige ist, der schon an diesem Sonntagvormittag auf ist, denn, wie der Freund A es gestern sagte, "Du stehst ja auch schon mit den Hühnern immer auf!", und man denkt: Nagut.

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