Il gisait à côté de moi, il savait qu’il allait mourir, et même s’il en avait certainement ras-le-bol depuis lurette de cette vie, il ne voulait pas qu’elle s’arrête. Mais quoi? Je pouvais pas l’aider, moi… J’étais là, et c’est bien tout ce que je pouvais faire. Alors je lui ai dit: «Ludvik. Tu vas mourir. C’est comme ça. Je vais rester là. Je vais rester avec toi.»
Et du coup il pense à Françoise Hardy, à Que tu m'enterres - qui n'est pas une chanson triste, loin de là.
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