Enfin, non…
JB se réveille sous un Berlin enneigé, mais lui-même se trouve bien au chaud dans son palais socialiste. Il ouvre les yeux (taaard) dans son lit à baldaquins aux tentures rouge révolutionnaire et il distingue les branches des arbres toutes blanches. Il se lève (du pied droit), va à la fenêtre et constate qu'un épais tapis parfaitement immaculé recouvre l'arrière-cour, puis le jardin derrière elle, puis la cour de l'école derrière elle encore. Il va dans son bureau pour allumer son ordimini et constate cette fois que les flocons, s'il ne sont pas épais, tombent à un rythme soutenu. Il voit une mère tenir son fils par la main droite et la luge dans la main gauche. Alors il pense:
Riders on the snow.
Riders On The
Et il est séduit, lui qui n'écoute quasiment jamais les Doors.
Il est séduit par ce long solo d'orgue qui lui rappelle les morceaux de skinhead reggae contemporains où l'orgue Hammond était au centre de l'orchestration. Ainsi par exemple d'un morceau des Hippy Boys qu'il aime beaucoup, Capo, qui a la même langueur que Riders On The Storm:
Allez, il faut se mettre au travail. On the snow.
Et une bonne journée à tou(te)s, hein.
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