Et on continue d'écouter des choses du génialissime Lee Perry et on tombe sur ce morceau instrumental qu'on ne connaissait pas et qui est intitulé Pee-Wee Special.
Et, forcément, on repense à un autre Pee-Wee, Herman de son nom de scène (et dont le prénom s'écrit en fait Pee-wee avec un W minuscule), dans le film de Tim Burton de 1985: Pee-wee's Big Adventure. On regarde en quoi se compose les réveils de Pee-wee:
Und man muss selbstverständlich an einen anderen Pee-Wee denken, Herman mit Nachnamen (und eigentlich Pee-wee als Vorname, mit einem kleinen W), in Tim Burtons Film von 1985: Pee-wee's Big Adventure. Umgehend schaut man, wie Pee-wee aufwacht und was er macht:
Einfach toll! Pee-wee ist auch ein Freund des JBs.
Génial! Pee-wee est aussi un ami de JB.
Et, voyant cette photo de Pee-wee où il utilise le scotch pour s'enlever les poils du nez - on se souvient:
Und, indem man sieht dieses Bild, wo Pee-wee Klebeband benutzt, um sich die Nasehaare abzuziehen - wir erinnern uns:
… denkt man dan selbstverständlich an ein anderes Bild, ein Werk von dem schottischen Künstler Douglas Gordon, mit Namen Monster (1997):
… on pense cette fois à une autre photo, une œuvre de l'artiste écossais Douglas Gordon, intitulée Monster (1997). On la regarde elle aussi:
© Douglas Gordon
Et on se doute bien que Douglas Gordon n'a pas composé son œuvre en hommage à Pee-wee Herman. En revanche, on aime ces trois correspondances qui nous font partir de la musique et arriver à l'art contemporain en passant par le cinéma.
Und man ahnt schon, dass Douglas Gordon sein Werk nicht mit Pee-wee Herman als Inspiration geschöpft hat. Dennoch mag man diese drei Zusammenstellungen, mit denen man mit Musik anfängt und mit zeitgenössischer Kunst endet, mit einer Halte im Kino.
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