lundi 2 août 2010

La lumière crue

Et, revenant à la nouvelle de Sara, on traduit cette phrase:
Maman et moi ne parlions toujours pas, nous regardions par la vitre et son visage ressemblait à une blessure dans la lumière crue.

Forcément, on repense au noir et blanc d'Ingmar Bergman, des contrastes, des surexpositions, et entre autres à cette scène de La Nuit des Forains, lorsque le clown porte pieds nus sur les rochers sa femme dans ses bras. On se souvient du visage singulier de Harriet Andersson, ici presque fellinienne:

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