Le papy épodopé (alias JB) est fatigué. Il va se coucher. Mais pas tout seul et plutôt avec lui:
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Ha! Denn ihr alle habt geglaubt, dass ihm ein Mann war… Seufz… Ihr spinnt wohl alle, oder wat? Oder denkt ihr nur daran, ihr rotzige Böcke une Ziege (das ist ja nun schøner als Säue, JBs Meinung nach)! Najjjn! Ihn ist ein Buch. Ein Buch, das der JB seit anderthalbem Monat wartet. Und dank der deutschen Post ist es heute angekommen.
Worum handelt es sich? Ja, also. Es handelt sich um die Ururursprache der Indogermanischen. Nicht nur eine linguistische Studie, aber auch eine ethno- bzw. anthropologische Studie, nach Konzepten und Realitäten sortiert. 730 Seiten. Geil! Der JB hatte schon 4 Orgasmen seit der Postbote ihm das Buch brachte. Hierunten ein Beispiel, über JBs Favoritthema: das Gute.
De quoi s'agit-il? Bon, alors. Il s'agit de la langue originelle des Indo-Européens. D'une étude non seulement linguistique, mais ethnologique et anthropologique, classée en fonction de concepts et de réalités. Un pavé, ou plutôt, comme on dit en Belgique: une brique linguistique de 730 pages. JB a déjà eu 4 orgasmes depuis que le facteur lui a apporté l'ouvrage. Ci-dessous un exemple, le thème favori de JB: le bien.
© icke
Autre exemple et autre thème favori de JB: le bonheur. Et donc il apprend que le mot originel signifiant être heureux en indo-européen se disait °teus et que l'on retrouve l'équivalent par exemple en sanscrit dans la forme túsyati. Compris? Ah, une précision: le ° ou le * comme les auteurs l'ont noté en anglais signifie que la forme est putative, reconstituée, qu'on n'a pas de trace cérite du mot, mais que l'on suppose que le mot s'écrivait comme cela. Toujours d'accord?
Andres Beispiel und Favoritthema von dem JB: das Glück. Und hier erfährt er, dass glücklich sein auf Indo-Germanisch °teus hiess, und dass das Wort sich auf Sanskrit in das Wort túsyati spiegelt. Verstanden? Ach, noch ein Hinweis: dieses °- oder *-Dingchen weist darauf, dass die Form hypothetisch ist, rekonstruiert, dass man keinen schriftlichen Beweis davon hat, dass aber man behauptet, es hätte sich so geschrieben. Immer noch kapiert.
© icke
Und seitdem die Schriftstellern (J.P. Mallory und D.Q. Adams) auch Lachtaschen sind und dieses Kapitel The Good, Bad and the Ugly benannt haben, hören wir, bevor wir uns verabschieden, The Ugly One (aka Lee Van Cleef) von King Sitt, eine Skinhead Reggae-Perle.
Et comme les auteurs (J.P. Mallory und D.Q. Adams) ne sont pas en reste pour se dilater la rate puisqu'ils ont intitulé le chapitre ci-dessous The Good, Bad and the Ugly, on va écouter, avant de se quitter, The Ugly One (aka Lee Van Cleef) de King Sitt, une perle de skinhead reggae.
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