mardi 13 juillet 2010

Ma gaine me tue!

Et JB ne peut s'empêcher de ricaner en traduisant ça:
Toujours est-il que, quand elle s’est déshabillée, on a ri de son soutien-gorge immense et de son slip qui l’était tout autant: non seulement il lui remontait jusque sous les seins mais il lui retombait sur le milieu des cuisses qui en plus étaient flasques et bougeaient à chaque mouvement. Ça devait être une gaine qu’elle portait, en fait.

Il ne peut s'empêcher de ricaner car il a longtemps habité rue Playtex quand il vivait encore dans la Rance. Il habitait rue Playtex et son appartement servait d'entrepôt et de concession pour la vente de gaines 18 heures. JB était vendeur de gaines dans une autre vie. C'est lui qui a écrit et réalisé cette pub qu'on voit ci-dessous:



Il est aussi très fier de ce texte dont l'INA se souvient avec émotion:
"(…) Vous dites? Cette gaine incroyable est une gaine de grand maintien? Pas panneaux, pas de renforts…? Mais il est où… [rire moqueur] heu! le maintien? Aaah… c'est cette matière étonnante qui maintient?! D'accord, j'essaie… Oooh… une gaine si légère qui maintient autant que les gaines poids lourd! Oooh, c'est incroyable! (…) De Playtex! Actuellement 20 francs de moins sur les gaines, 30 francs sur les combinés."

Et JB se souvient aussi de cette phrase d'un camarade de lutte qui disait tout le temps: "Ma gaine me tue!" Histoire de mieux se moquer d'une certaine bourgeoisie engoncée, prude, mais qui n'a au fond qu'une envie: se dévergonder.
Or, en cherchant sur gougueule, JB découvre que c'était le slogan des réclames pour la gaine dite Scandale. Il n'a pas trouvé la réclame en question, mais il en a retrouvé une autre. On regarde incontinent:



Et au départ, trouve JB, on dirait que la dame gainée porte un vêtement en latex…
Mais ça doit être lui qui déraille…

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