lundi 28 juin 2010

Noise

On est réveillé par le bruit d'un avion qui passe bien bas - et du coup on pense forcément à Leaving on a Jet Plane. Conséquemment, on écoute la version de David Isaacs dont on avait oublié qu'elle était rythmée par des trilles de flûte traversière, ça alors…
Man wird von dem Lärm eins Flugzeugs aufgewacht, der zu unten fliegt - und man muss dann natürlich an Leaving on a Jet Plane denken. Also hört man Davis Isaacs' Version und man hatte völlig vergessen, dass drin eine Querflöte zu hören ist, mann…



Aber nun geht alles schief. Geräusche sind überall und viel zu stark. Vor 10 Minuten ein brüllender Lastwagen, jetzt ein Kran, und dann die Autos. Und man hat das Gefühl, man sei in einem Lied von My Bloody Valentine, wenn die Gitarren überspielt und gesampelt sind. To Here Knows When zum Beispiel. My Bloody Valentine hat man sowieso immmmer gemocht. War man sauer oder traurig, hat man My Bloody Valentine gehört, wie ein Auslaster für die Wut. Das hat immer funktioniert.
Et maintenant tout va de travers. Les bruits sont partout et tous amplifiés. Il y a dix minutes résonnait le grondement d'un camion et c'est maintenant une grue, et puis toutes ces voitures dont le niveau sonore semble être poussé au maximum. Et on a la sensation d'être dans une chanson de My Bloody Vlaentine, quand les guitares sont non seulement saturées mais samplées pour mieux en accentuer la férocité. To Here Knows When, par exemple. Quand on est en colère ou trop triste, on écoute toujours My Bloody Valentine, qui fonctionne comme un exutoire à la hargne. Ça a toujours fonctionné.

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