jeudi 10 juin 2010

De la chance

Et on reçoit le message suivant:


Immanquablement, on pense à Pochée, le roman pour enfants de Florence Seyvos (le plus beau roman contemporain de la littérature française pour la jeunesse?), publié en 1994. Et tant pis si dans Pochée il n'y a pas d'agneau mais, notamment: 1) une tortue endeuillée, Pochée; 2) un escargot qui bave, Truc (mais c'est sa nature de baver); 3) un hérisson abandonné par ses parents, Pépin.
On relit:

© icke

Et puis on se dit qu'on est comme Pochée, parfois on trouve qu'on a beaucoup de chance. Beaucoup de chance parce qu'on reçoit un message comme celui-ci, celui en haut, qui a le don de nous faire fondre. Beaucoup de chance parce que Pochée dit qu'elle trouve qu'elle est une fille bien, et que tout ce qui fait l'objet des préoccupations actuelles, l'objet du travail (la traduction de Faire le bien, de Trude Marstein) comme le but dans cette vie, c'est ça: être quelqu'un de bien. Beaucoup de chance parce que de belles coïncidences comme ça, on n'a pas la chance d'en (a)voir tous les jours.

Aucun commentaire: