lundi 7 juin 2010

Viktor S.

Immer voll in seinen sozialistischen Rausch und Sause entdeckt jetzt der JB einen Sängern aus der Tschechoslowakei, ich nenne: Viktor Sodoma. Wie bitte? Sodoma? Das war ja ein erfrischender sowie versprechender Nachname. Wir präsentieren uns:
Der JB: Freundschaft! Wie heisst du, Genosse?
Der Viktor: Sodoma.
Der JB: Aha. Es freut mich sehr. Und was machst du sonst im Leben? So… in deinem Alltag?
In seinem Alltag hängt der Viktor S. so fast nackt in einer kleinen engen Hose und liest… ja, genau… Jules Verne. Aha, jawoll… Jules Verne, alles klar. Man weiss ja jetzt ein bisschen mehr über die sexuelle Präferenzen von dem Herrn Verne. Naja.
Viel Spass auf jeden Fall mit Tajuplný ostrov, von 1971. Die Sonne ist fast wieder über Berlin, man könnte beinahe behaupten, dass Viktor auf uns wartet.



Depuis ce matin, JB est pleine montée de groove socialiste. Il écoute des chansons du début des années 70 entonnées dans les républiques populaires et les trouve tout à fait à son goût. Or il vient de découvrir une nouvelle star originaire de Tchécoslovaquie (ce qu'il savait, c'est que ce pays a fourni dans els années 60 une pop non seulement très écoutée, très exportée, mais aussi de qualité - si si!). Et donc, sa nouvelle connaissance s'appelle… il a nommé: Viktor… Sodoma. Pardon? Sodoma? Ma foi, voilà un patronyme fort rafraîchissant et fort prometteur. Nous nous présentons:
JB: Bonjour, c'est quoi ton petit nom, camarade?
Viktor: Sodoma.
JB: Aha. Enchanté. Et qu'est-ce que tu fais dans la vie? Je veux dire… au quotidien?
Au quotidien Viktor S. passe ses journées quasi à oualpé, vêtu d'un seul mini-short moule-burnes, tandis qu'il lit, oui… Jules Verne. Jules Verne? C'est cela, ouiii… On en sait aujourd'hui davantage sur les préférences sexuelles de Monsieur Verne. Bon bon.
Pour l'heure, on écoute Tajuplný ostrov, de 1971. Le soleil est presque revenu sur Berlin et on pourrait quasiment croire que Viktor nous attend.

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