Mais JB, même de bon matin et le cerveau frais et dispos, avait oublié qu'il est nul. Sur 10 questions, il n'a que 2 bonnes réponses. Et encore, qu'il a indiquées au pifomètre. Comme celle-ci:
Et cela lui fait repenser qu'il a récemment retrouvé dans ses journaux à ranger une interview consacrée au Dictionnaire érotique de la francophonie dont l'auteur répond au doux nom adéquat de… Georges Lebouc, professeur honoraire à l'Institut supérieur d'études sociales à Bruxelles.
750 mots sont ainsi recensés qui montrent que les Québécois sont en la matière les plus inventifs, suivis des Ivoiriens. Et Monsieur Lebouc de préciser:
"J'ai trouvé [dans le lexique Québécois] pas moins de 18 mots pour parler du sexe masculin que, basiquement et assez vulgairement, ils appellent la pissette. Ce qui a d'ailleurs donné le mot agace-pissette pour désigner une allumeuse. Le sexe féminin n'a, quant à lui, droit qu'à 9 mots."
Et JB de penser: normal, coco, c'est le machisme linguistique.Puis vient la question des quiproquos éventuels:
Les faux amis ne manquent pas. En québécois, par exemple, se branler signifie s'agiter, et il n'est pas rare d'entendre une mère dire à son enfant: "arrête de te branler." Dans un autre genre, on évitera de demander à un Québécois comment vont ses gosses, ce qui revient à prendre des nouvelles de ses testicules. En suisse, un patin n'est pas un baiser argotique mais une couche, un lange; quant à la quéquette, elle désigne un plateau servant à quêter, voire la quête elle-même.
Et le merveilleux Monsieur Lebouc de conclure son interview en soulignant que sa "plus belle trouvaille" n'est autre que "la définition du mot sida que les Congolais ont transformé en "syndrome inventé pour décourager les amoureux."Ha!
2 commentaires:
ouf, six réponses justes !
Eric F.
je suis very impressed!
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