samedi 10 avril 2010

"If you feel that you can't go on"

Allez, pour tous ceux qui ne seraient toujours pas convaincus par le ska, on va tenter d'être pédagogique et de les subjuguer avec ce morceau archiconnu de 1966, des Four Tops; puis, juste en-dessous, montrer la version très blue beat (entre le ska et le rocksteady, plus calme), la même année, par Derrick Harriott.
Cette chanson a qui plus est l'avantage, pour toutes les âmes en peine, de redonner espoir, de se sentir moins seul qu'on ne le croit. D'une façon sans doute très romantique, après avoir écouté les paroles, on peut se dire, ou du moins s'imaginer, que quelqu'un est là quelque part pour nous ("Quelqu'un va venir" - affirme Jon Fosse, et tant pis si Jon Fosse n'est vraiment pas notre tasse de thé ni de chicorée!). Puisque c'est vrai, il faut y croire: il y a pour nous quelqu'un quelque part - c'est juste que nous ne l'avons pas encore rencontré(e); et certes ça dure mais ça va venir, patience…
Mais, d'une manière cette fois très mélodramatique, on peut aussi verser une larme puisque, oui, aussi, cette chanson a des accents tristes. Aïe…
Enjoy!

So, für die jeingen, die noch nicht von Ska überzeugt wären, machen wir heute ein pedagogisches Versuch um sie zu entzücken mit diesem hyperberühmten Lied von 1966, von The Four Tops; und, unten, die Coverversion, sehr blue beat (zwischen ska und rocksteady, ein bisschen ruhiger), von Derrick Harriott, auch in 1966 gesungen.
Das Lied hat übrigens vom Vorteil, dass es wieder Hoffnung gibt: nein, man ist nicht so allein, wie man denkt. Vielleicht sehr romantischerweise, nachdem man die Songtexte gehört hat, kann man ja denken, bzw. sich vorstellen, dass jemand da, irgendwo, für uns ist. Denn es stimmt, und man muss daran glauben. Melodramatischerweise darf man auch eine Träne weinen, denn vielleicht ist das Lied auch ein bisschen trüb. Ach…
Enjoy!



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