Sauf que même celui qui est invisible finit inéluctablement par être vu, comme un contour blanc en mouvement dans la nature alors qu’il n’y a nul endroit où se cacher. Et celui qui se cache en s’enfonçant dans un trou ressurgit à l’entrée d’un autre trou, le printemps suivant – comme une petite taupe.
Buzz Aldrin, Johan Harstad, traduit par Jean-Baptiste Coursaud, Gaïa éditions, 2009
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