[11h05, M. à JB:
A priori mon spécialiste en appelle à la "robe portefeuille" !!!]
Et donc, on parlant de robe et en pensant à cette désolation que représente le temps qu'un traducteur passe parfois pour un mot, un seul, rien qu'un, on peut entonner le Breakfast in Bed de Dusty Springfield dans sa célébrissime version reggae par Lorna Bennett (on y reviendra un jour) et dire: "Come in baby / You can dry the tears on my dress".
On regarde, on écoute, en robe ou sans robe. (Avec une pensée intriguée pour l'Association des Hommes en Jupe, collectif qui réclame moins de discrimination à l'endroit des hommes désireux d'évoluer au quotidien vêtus d'une jupe. Avec aussi une pensée émue pour tous les amis dans la Rance qui sont de fervents adulateurs de la jupe-culotte, inénarrable et indémodable vêtement au sujet duquel il s'agirait quand même un jour de rédiger un traité. Mais c'est une autre histoire.)
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